Les solutions de « Big Data » au service de notre santé

Le Big Data au service de notre santé
Le Big Data au service de notre santé
Source : Nuance for healthcare, nuance.com

Aujourd’hui, l’usage d’Internet et des nouveaux moyens de communication génère une quantité de données impressionnante. Grâce, notamment, au développement du Cloud Computing, les particuliers et les entreprises créent et stockent continuellement de plus en plus de ressources de tailles et de natures variées. Face à cette réalité, on regroupe désormais sous le nom de Big Data (“déluge de données” en français) aussi bien ces quantités de données que les problématiques et les solutions concernant leur gestion et leur utilisation. Même si les progrès en matière de stockage permettent aujourd’hui de conserver l’exhaustivité de ces données, la question de leur intérêt et de l’utilisation qui pourrait en être faite se pose de plus en plus.

D’après IDC, l’information totale produite chaque année par les entreprises devrait connaitre une croissance annuelle de 67% de 2007 à 2011, passant de 75 exaoctets à 580 exaoctets (1 exaoctets = 1 milliard de gigaoctets) »

Ce que IDC appelle l’univers numérique, c’est-à-dire la quantité d’informations numériques créée ou répliquée annuellement, va être multipliée par 44 en 2020 par rapport à son niveau de 2009, pour atteindre 35 zettaoctets (1 zettaoctet = 1000 milliards de gigaoctets)

Source : Qualité des données, quelle(s) vérités dans les entreprises (EBG, 2011)

Et si nous réussissions à faire parler cette multitude de données ? Si nous parvenions à en tirer des connaissances exploitables ? C’est le défi que se lancent un grand nombre de sociétés informatiques (Microsoft, Dell, IBM ou Oracle pour ne citer qu’elles), par l’intermédiaire de leurs spécialistes (les experts de l’analyse des données) et le développement de solutions logicielles innovantes. Continue reading Les solutions de « Big Data » au service de notre santé

Cloud computing : IaaS et PaaS n’en sont qu’à leurs balbutiements

Sur les couches basses, infrastructures et plates-formes de développement, la révolution cloud computing n’a pas encore commencé. C’est en tout cas ce que révèle une nouvelle étude de MARKESS International. Selon cette étude, seulement 2 % des entreprises et administrations françaises se sont résolues à transférer leur infrastructure informatique dans le nuage (IaaS) et seulement 1 % utilisent des plates-formes applicatives (PaaS). En revanche, près du tiers des entreprises interrogées utilisent déjà des logiciels à la demande (SaaS), l’autre approche du cloud computing.

Les taux de pénétration de l’IaaS et du PaaS devraient toutefois considérablement augmenter dans les année qui viennent. L’étude indique qu’en 2013 ces chiffres passeront à 15 % pour l’IaaS et à 6 % pour le PaaS. On apprend également que les  décideurs sont plutôt tentés par le cloud hybride. En effet, 29 % d’entre eux montrent leur préférence pour la combinaison cloud privé-cloud public.

Pour ce qui est de la virtualisation, MARKESS International révèle que c ‘est la virtualisation de serveurs qui est la plus répandue (35 %) alors que pour la virtualisation du poste de travail, le taux ne dépasse pas 11 %.

Les perspectives restent particulièrement favorables : le marché du cloud computing pèse aujourd’hui 2,3 milliards d’euros en France et devrait atteindre 3,3 milliards d’euros en 2013.

Source : http://www.indexel.net/actualites/les-entreprises-francaises-boudent-toujours-le-cloud-computing-3305.html