Base10 : quand l’économie collaborative rencontre le B2B

Si l’économie collaborative est bien entrée dans les mœurs des particuliers au travers notamment de sites de location de logements ou de voitures comme Airbnb et BlaBlaCar, son extension au B2B est plus récente.

Base10, avec son offre de mise en relation entre des entreprises ayant des salles de réunion à louer ponctuellement et d’autres entreprises ou indépendants, est un exemple de cette tendance émergente.

Base10 - Location de salles de réunion
Base10 – Location de salles de réunion

Michel Teulière, l’un des associés de Base10, nous a accordé une interview pour nous présenter le concept de sa startup.

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Bizlunch – Rencontres pro à l’heure du déjeuner – Interview

Bizlunch
Bizlunch

Bizlunch est une start-up née à Marseille et proposant aujourd’hui dans toute la France, et même à l’étranger, une nouvelle manière de faire des rencontres professionnelles.

Si vous êtes commercial et amené à faire beaucoup de déplacements, ou si vous êtes un travailleur nomade, sans bureau fixe, vous avez sûrement fait cette expérience : à l’heure du déjeuner, vous vous retrouvez tout seul, en tête-à-tête avec votre journal ou votre smartphone.

Les deux fondatrices de Bizlunch, Sandy Nocera et Géraldine Martinez, ont décidé d’apporter une solution à ce problème : découvrez leur start-up dans l’interview Skype que nous avons réalisée.

Un livre collaboratif sur l’intelligence artificielle !

IA, la grande question. Le nouveau livre d'Alain Lefebvre.
IA, la grande question. Le nouveau livre d’Alain Lefebvre.

“IA, la grande question”. Tel est le titre de l’ouvrage d’Alain Lefebvre en préparation, traitant de l’intelligence artificielle et de son avenir.

Alain a décidé d’ouvrir son ouvrage aux apports de tous ceux qui s’intéressent au sujet, en rendant l’écriture de son livre collaborative.

Mais quelle est cette “grande question” dont traite l’ouvrage ? Tout simplement de savoir si l’avenir a besoin de nous, autrement dit d’étudier si l’émergence d’une IA forte et globale est une menace pour l’espèce humaine.

Les premiers chapitres du livre sont déjà disponibles pour commentaires et suggestions, et l’on s’aperçoit tout de suite que l’ouvrage s’annonce passionnant ! Alain Lefebvre s’efforce d’être accessible, mais jamais superficiel. Historique de l’intelligence artificielle, définitions, sources bibliographiques… Le propos est argumenté.

Si vous voulez participer à l’aventure et contribuer à ce livre collaboratif, rendez-vous sur le blog d’Alain Lefebvre.

Un wiki en B2B ? Le cas cherclient.com

cherclient.com, wiki de la relation client
Wiki de la relation client

Alors que la première semaine de l’économie collaborative bat son plein, il nous est apparu opportun de faire le point sur une initiative lancée il y a déjà 7 ans avec l’aide de Coopératique, et qui est plus que jamais d’actualité.

En 2007, donc, la société Teletech International décidait de lancer le premier wiki de la relation client, cherclient.com. Ce projet était riche en originalités :

  • c’était l’un des premiers, sinon le premier, wiki 100% B2B ;
  • il était ouvert aux contributions de professionnels de la relation client, pas forcément au fait des outils collaboratifs, à l’époque ;
  • il était animé par Teletech, mais la société avait fait le choix de rester en retrait, pour laisser toute la lumière sur les membres du wiki.

Ce faisant, Teletech était à la fois pionnier dans l’ère des wikis, mais également précurseur dans ce que l’on appellerait plus tard le “marketing de contenu”.

La présentation suivante revient en détails sur l’originalité de la démarche :

Avez-vous connaissance, aujourd’hui, d’autres communautés professionnelles intéressantes animées sur un wiki ? Si oui, n’hésitez pas à nous en faire par en commentaire !

 

Quand le financement participatif veut libérer Frédéric Chopin

Frédéric Chopin by Eugène Delacroix, Musée du Louvre
Portrait de Frédéric Chopin par Eugène Delacroix, Musée du Louvre

Musopen est une organisation à but non lucratif qui s’est fixée pour mission de mettre à disposition des contenus musicaux libres de droits : enregistrements, partitions et manuels de musique. En 2010, elle avait réuni 68 359 $ (soit largement plus que les 11 000 $ qu’elle avait demandés) sur Kickstarter pour embaucher un orchestre international réputé  : ce faisant, Musopen a enregistré et libéré les droits de symphonies de Beethoven, Brahms, Sibelius et Tchaikovsky.

Aujourd’hui, Musopen s’est lancée un bien plus vaste défi : enregistrer et rendre publiques gratuitement (de manière libre de droit) les oeuvres complètes de Frédéric Chopin.

Quelques explications s’imposent. Certes, cela fait 164 ans que Chopin est mort. Sa musique est donc dans le domaine public depuis bien longtemps. Toutefois, comme l’explique Musopen, la plupart des gens continuent à la consommer comme si elle était toujours soumise à des droits d’auteur : sous la forme de CD, sur iTunes ou via des vidéos YouTube (dont nombreuses sont celles qui font l’objet de copyrights).

La nouvelle campagne de levée de fonds a pour but de recruter des interprètes de talent pour enregistrer la totalité des 245 oeuvres de Chopin, puis de les mettre à la disposition du public de manière libre, sous la forme de vidéos en haute définition et de fichiers audios de très bonne qualité (échantillonnés en 24 bits à 192kHz).

Pour y parvenir, Musopen a besoin de recueillir $75 000. A ce jour, elle a déjà réuni 71 384 $. Autant dire que le pari est en passe d’être gagné, puisque la campagne court jusqu’au 20 octobre 2013. Mais il n’est jamais trop tart pour bien faire : découvrez le projet sur la page Kickstarter “set Chopin free”.

Mise à jour du 18 novembre 2013

La campagne est terminée. Elle a permis de lever 92 452 $, soit 17 452 $ de plus que ce qui était demandé !

Un site malin pour les amoureux de musique : Whyd

Whyd, the place for music lovers
Whyd

Mercredi 9 juillet, nous avons eu le plaisir d’assister à la première table ronde de la conférence “Les start-ups réinventent-elles l’industrie musicale ?”, organisée par Whojamlive et Polyphony à l’ESCP-EAP. Dans ce billet, nous revenons sur la présentation du service Whyd par son fondateur, Gilles Poupardin.

Gilles Poupardin est ce qu’il est convenu d’appeler un serial entrepreneur, avec plusieurs start-ups à son palmarès dans le domaine de la culture et de la mobilité. Il est aussi connu sur la scène parisienne de l’entrepreneuriat pour être le co-créateur des Aperoentrepreneurs.

Sa nouvelle inititative, Whyd, est très maline. Tout d’abord, elle réjouira les music lovers, comme aime à les appeler Gilles Poupardin. Whyd part du principe suivant : aujourd’hui, les sources pour découvrir et partager de la musique sur le Web sont fragmentées. Entre Deezer (qui était également représentée à la conférence en la personne de son PDG France, Simon Baldeyrou), YouTube, Soundcloud, et j’en passe, les passionnés n’ont que l’embarras du choix pour découvrir le nouveau son qui va les faire vibrer. D’un autre côté, les outils de partage (Twitter, Facebook et consort) ne sont pas adaptés à la musique : sitôt écouté, le titre que l’on y découvre plonge dans les limbes du flux, sans qu’il soit aisé de le retrouver.

Face à ce constat, Whyd se présente comme the place to be for music lovers (Gilles Poupardin ne rechigne pas à parler anglais : la moitié des abonnés de Whyd sont déjà hors de France, moins d’un an après son lancement). L’idée est de pouvoir collectionner, caractériser par des tags, classer ses titres et albums préférés (“curer” un contenu musical, pour reprendre ce néologisme du Web social) en un endroit unique, quel que soit leur source. Sur Whyd, on peut créer des playlists associant indifféremment des sources issues de YouTube, Soundcloud et les autres, en faire un flux (“stream”) et l’écouter directement sur la plate-forme. Le partage de la musique est aussi simplifié : pour savoir ce qu’aiment vos amis en termes de musique, il suffit de se connecter sur leur profil Whyd, et l’ensemble des pépites musicales qu’ils ont découvertes vous sont accessibles.

Ce service, actuellement encore en beta sur invitation, est malin pour les utilisateurs, car il est très pratique. Mais il est aussi malin d’un point de vue économique, puisque Whyd n’a pas eu à négocier quoi que ce soit avec des maisons de disque ou des ayants droits : il ne fait que consolider des sources stockées par des services tiers, en utilisant les API qu’ils mettent à disposition !

Gilles Poupardin ne s’attarde pas sur la description de son modèle économique. A ce stade, son objectif est d’offrir un service de la meilleure qualité possible, qui attire une vaste audience de réels passionnés de la musique, dont une grande part du budget loisir est consacré à cette passion. Son pari : de la présence d’un grand nombre de passionnés ayant un pouvoir d’achat naîtra une audience susceptible d’intéresser des partenaires, et donc monétisable.

Whyd est une idée qui séduit par sa simplicité. Elle rend un vrai service aux passionnés de musique. Réussira t-il à attirer la masse critique d’utilisateurs nécessaire à son décollage ? Rendez-vous dans quelques mois pour le savoir !

L’indicateur du vivre mieux, une dataviz de l’OCDE

OCDE - L'indicateur du vivre mieux
OCDE – L’indicateur du vivre mieux

 

 

 

 

 

 

Billet mis à jour le 20/07/2013

La première vocation de cette datavisualisation réalisée par l’OCDE est de montrer que le PIB par habitant d’un pays ne représente pas tout.

Tout ne passe pas par l’argent. Le PIB par habitant n’est pas un indicateur suffisant pour rendre compte du bonheur ou du bien vivre de la population.

Des données aux fleurs

Pour concevoir cette datavisualisation, il a fallu sélectionner et récolter plusieurs types de données sur le progrès au sens large : logement, revenu, emploi, liens sociaux, éducation, environnement, etc. Le but était que les internautes puissent choisir les critères qui évoquent le mieux le bien vivre selon eux…et donc définir leur propre indicateur.

Au final, chaque pays est représenté par une fleur et il est possible de manipuler les critères jugés importants pour obtenir des tendances.

Retrouvez ci-dessous Jérôme Cukier de l’OCDE qui nous présente l’Indicateur du vivre mieux, lors d’Expoviz :

I love democracy : la démocratie en chiffres… et en datavisualisation

I love democracyVoir la Viz : http://ilovedemocracy.arte.tv/fr/

« I love democracy » est un projet de visualisation interactive des données réalisé par Dataveyes pour la chaîne de télévision Arte.

Ce projet accompagne une série de documentaires sur la démocratie dans sept pays du monde (Tunisie, Russie, Inde, Grèce, États-Unis, Turquie et Maroc). En phase avec le caractère très immersif de ces documentaires (caméra à l’épaule, parole donnée aux populations sur place, etc.), Arte voulait pouvoir présenter sur le Web des informations plus objectives, chiffrées. Le rôle de Dataveyes a été de transformer ces données chiffrées en « histoires », pour dégager des tendances qui se dégagent de séries de chiffres statistiques.

Quels indicateurs choisir ?

Arte a laissé à Dataveyes une grande liberté de choix pour les indicateurs. Le but était de parler de démocratie avec des indicateurs moins centrés culturellement que d’habitude (la France a une idée très arrêtée de la démocratie…).

A partir des statistiques de l’ONU ou de la Banque Mondiale, il a été possible de choisir des indicateurs originaux et éloquents en termes de liberté et de démocratie. En voici quelques uns :

En termes d’expérience utilisateur, les internautes peuvent s’approprier l’information en sélectionnant un pays sur une carte et en avançant donnée par donnée. En jouant avec les curseurs, l’utilisateur est actif et peut également comparer deux pays.

I love democracy est une dataviz à la fois instructive et ludique qui trouverait toute sa place dans un cours d’histoire contemporaine.

Le Véritomètre : une dataviz d’OWNI présentée par Marie Coussin

VéritomètreVoir la Viz : http://itele.owni.fr/

Le Véritomètre est un projet transverse de datajournalisme (impliquant des journalistes, graphistes, programmeurs, etc.) lancé par OWNI avec i-Télé pour vérifier les citations chiffrées des 6 candidats à la présidentielle.

Le recours à la datavisualisation permet aux internautes de vérifier eux-même les citations (pour cela, plus de 200 graphiques concernant les sujets les plus « brûlants » de la campagne ont été mis au point). Est-ce que ce candidat dit la vérité sur le chômage ? Ce dernier est-il vraiment en train « d’exploser » ? Cette hausse de x % est-elle vérifiable ? Etc.

La réalisation du Véritomètre

La principale difficulté est venue du fait qu’il fallait pouvoir mettre quotidiennement à jour les données et en ajouter au fil des interventions des candidats. Les journalistes ont donc appris a rentrer eux-mêmes les données sur une base de données MySQL afin d’être autonomes.

Afin d’être visibles aussi bien sur le Web que sur i-Télé, les graphes devaient être réalisés en HD et avoir une charte graphique forte, facilement reconnaissable.

Aujourd’hui, le Véritomètre est devenu une vraie base de données autonome, réutilisable et rendant compte d’une réalité politique. Maintenant que les présidentielles sont terminées, il pourrait se prolonger en se concentrant sur les paroles du Président et des ministres.

And the winner is…Social Media Awards 2012

Social Media Awards 2012
Les lauréats des SMA 2012

Via Smartwords

Pas moins de 15 enseignants chercheurs et plus de 250 étudiants de l’ESG Management School et de l’Université Paris 1 Sorbonne se sont réunis pour préparer la remise des Social Media Awards, récompensant les entreprises déployant les meilleures stratégies sur YouTube, Twitter et Facebook. Ils ont sélectionné les nommés, classés dans deux catégories : « Young performers » (petites et moyennes entreprises) et « Major achievers » ( grandes marques). Ce panel académique a également été chargé de déterminer les critères d’attribution, aussi bien quantitatifs que qualitatifs, de ces récompenses. Ils ont pu s’appuyer pour cela sur un système de suivi en temps continu mis au point par BlogAngels.

Six trophées ont été décernés par un jury de 11 experts, plus un septième récompensant le « coup de cœur » du jury.

Charlott, doublement récompensé dans la catégorie Young performers

Charlott, site de vente en ligne de lingerie féminine, a remporté deux trophées. Le premier est venu saluer la mise en place, sur YouTube, de l’élection de « Miss Charlott 2012 », ambassadrice de l’enseigne choisie pour un an parmi les internautes ; le deuxième a récompensé la page Facebook de la marque. Celle-ci lui permet de communiquer directement avec ses clientes sur les nouveautés proposées dans la boutique, et joue le rôle de canal de recrutement de conseillères de vente et d’hôtesses pour la vente à domicile.

Intermède de Media Aces

Avant de remettre leurs trophées aux grandes marques, deux représentants de l’association des entreprises utilisatrices des médias sociaux, Media Aces nous ont proposé leur point de vue sur 10 des plus importantes tendances du moment en matière de Web 2.0 :

  • la place de plus en plus importante de l’iPad dans nos habitudes (les autres tablettes restant globalement inaperçues) ;
  • l’engouement pour le « content marketing »;
  • la curation de contenu ;
  • la socialisation des sites Web ;
  • l’appétit grandissant des clients pour davantage de relation ;
  • le développement des réseaux sociaux d’entreprise ;
  • le fait que les collaborateurs deviennent de plus en plus des ambassadeurs de leur société ;
  • les risques inhérents à la prolifération des plates-formes (peut-on vraiment réussir à être efficace partout ou faut-il faire des choix tactiques ?) ;
  • la révolution dans les RH (soutenue par Linkedin) ;
  • le fait que les médias sociaux deviennent « le baromètre de la bulle 2.0 ».

A l’évocation de ces tendances a fait suite une série de pistes de réflexions pour l’avenir :

  • sommes-nous dans une époque de maturité ou de confusion en matière de réseaux sociaux ?
  • La TV connectée va t-elle devenir la TV sociale ?
  • Le phénomène du BYOD (Bring your own device) dans les entreprises (c’est-à-dire le fait de travailler de plus en plus à son bureau avec son propre matériel, ses propres données et ses propres réseaux) va-t-il créer un amalgame entre nos données personnelles et nos données professionnelles ?
  • Trop de crowdfunding va-t-il tuer le crowdfunding (via la subvention par les internautes de projets plus ou moins ambitieux) ?
  • Le buzz au risque du bad Buzz ?
  • Que penser des connivences entre réseaux sociaux et politique (nous repensons au récent tweet de Valérie Trierweiler, compagne du président François Hollande) ?
  • Au vu de la valeur que commencent à prendre nos profils sur le Web, ne doit-on pas de plus en plus craindre pour leur sécurité ?
  • Sommes-nous guettés par la « fatigue sociale » (d’où l’intérêt d’apprendre à faire des « pauses digitales ») ?

En somme, un vaste débat plein de réflexion et passionnant pour tromper notre impatience de connaître les autres gagnants de la soirée.

Les meilleures stratégies des Major achievers

Samsung a remporté le trophée de la meilleure stratégie sur YouTube. La richesse des contenus de la firme électronique a été judicieusement mise en valeur sur le site de partage de vidéos.

Universal Music a arraché ensuite le trophée de la meilleure stratégie sur Twitter. Twitter est un excellent moyen pour les fans de suivre leurs artistes préférés. C’est ainsi qu’un concert impromptu de Justin Bieber a pu rassembler plus de 700 fans alors qu’il avait été annoncé moins d’une heure avant par l’intéressé sur Twitter.

Groupama a emporté le trophée de la meilleure stratégie sur Facebook grâce à la page de la célèbre « Cerise ». Celle-ci n’était malheureusement pas présente dans la salle pour aller chercher son prix sur scène, comme l’a fait remarqué Adeline Breton (@a2linebreton) sur son fil Twitter !

Avant de passer à la remise du très attendu grand prix Social Media Awards, l’assistance a eu une pensée émue pour le fameux« homme nu » de La Redoute. Incarnation à lui tout seul du « bad buzz », ce dernier n’a jamais récolté les lauriers de son « travail ».

Quoi qu’il en soit, les lauréats de la soirée sont la preuve qu’on peut remporter du succès sur le Web sans avoir recours à du « nude, du cute ou du trash », ingrédients classiques du buzz, pour reprendre l’expression de Yann Gourvennec, co-fondateur de Media Aces et Directeur Web, Médias Numériques & Sociaux d’Orange

Le grand prix spécial, « coup de cœur » du jury, est finalement attribué à Leroy Merlin : recourant le moins possible aux artifices de communication, la chaîne de magasins propose des contenus riches, sollicitant la participation de ses fans (photos et vidéos de leurs réalisations, partage d’astuces entre internautes…). Associant démarches globales et locales, la chaîne a par ailleurs 40 de ses 120 magasins en France qui disposent de leur propre page Facebook.

Le rassemblement sur scène des lauréats a clôturé l’événement. Celui-ci a été un franc succès… notamment sur les médias sociaux, puisqu’il a fait  partie le soir même du top 3 des discussions les plus actives sur Twitter en France.

Rendez-vous en 2013 pour la prochaine édition !